Un Dieu qui règne sur les circonstances. (Jj-7)

 “Et si la pluie tombe à votre mariage ?”

(AD) Nous avons entendu cette question quasiment à chaque fois que nous expliquions notre formule à nos proches, nos familles et nos aînés. Nous n’avions cependant pas pris la peine d’y répondre proprement et une fois pour toute.

Nous savions depuis les débuts de notre projet que nous voulions un mariage en plein air. Le thème : “faisons confiance à Dieu”, ainsi que la direction créative : “Jardin d’Éden”, nous imposaient littéralement de faire un mariage dans un jardin.

Nous savions donc aussi quelles conséquences étaient liées à ce choix :

La date ? Nécessairement en décembre ou janvier, les mois les plus chauds de l’année.

Les lieux ? Des espaces verts, suffisamment grands pour accueillir nos quelques 200 invités, sans trop de tracas logistiques.

Le budget ? Faisons confiance à Dieu.

Nous avions inséré au plus tôt dans la préparation spirituelle des prières pour un climat doux, clément et sec. Confiants, nous avons avancé dans nos préparatifs avec l’assurance que le Seigneur mettrait les éléments de notre côté.

 

Sauf que…

 

L’homme fait ses plans, Dieu rit.

Il ne pleut pas en décembre, tout le monde le sait. Ceci dit, nous avons déjà vu, depuis le début de ce mois, plusieurs événements qui amènent à se poser des questions :

La pluie est déjà tombée deux fois;

Nous avons vécu une pénurie de carburant;

Le pays enregistre les délestages les plus longs et les plus fréquents depuis le début de l’année.

Nous avons pris la peine de manifester à plusieurs reprises dans nos prières que le Seigneur nous accorde un climat agréable, des conditions de mariage douces et favorables. Mais nous sommes aussi conscients que l’homme a des projets, bien que ce soit la volonté de l’éternel qui s’accomplisse.

Un adage dit que la foi de celui qui prie pour qu’il pleuve l’oblige à sortir avec un parapluie. Celui qui prie pour le soleil peut-il donc se permettre des bâches ou un chapiteau à son évènement ?

 

Nous pensons que non.

C’est pour cela que nous disons, par la foi, que les seules eaux qui tomberont ces 21 et 22 décembre, seront les larmes de joie de nos familles et de nos amis, au nom de Jésus.

 

Et si le Seigneur décide de bénir notre mariage par une averse malgré nos requêtes, nous nous réjouirons ensemble et nous danserons sous la pluie.

 

 

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Notre plus gros challenge du moment… (JJ-18)

(Émilie) Au moment où je rédige enfin ces mots, nous sommes exactement à 18 jours de notre mariage 😂🤣 (ça fait tout drôle de l’écrire).

Donc nous sommes à moins de trois semaines du grand moment et ça fait près d’un mois que la pression des préparatifs a grimpé d’un cran, ou de deux plutôt ! Et le plus difficile pour nous, vraiment, c’est d’avoir un moment juste tous les deux🤔.

 

Pas que nous ne nous retrouvions pas souvent à deux (encore que même ceci avec les emplois de temps, c’est chaud), mais lorsqu’on se retrouve, il y a une troisième personne qui va s’appeler “préparatifs” qui s’invite systématiquement à nos dates🥲… tout nous renvoie à ça, même le sujet le plus éloigné va trouver le moyen de s’en rapprocher.

 

Bref, nous nous sommes un peu noyés dans le bain des préparatifs du mariage. C’est un peu embêtant mais depuis que nous nous en sommes rendus compte, nous essayons tant bien que mal de créer du temps pour tous les deux au milieu de ces dates à trois😃… aujourd’hui, par exemple, nous avons décidé en plein milieu de discussion de prendre 15 minutes juste pour papoter (quand tu vas épouser un intellectuel y a du neuf dans ta vie, rires)… c’était agréable, on a rigolé, ça nous a fait du bien. On le refera probablement en attendant une nouvelle inspiration.

 

Mais bref, à vous qui nous lisez, ne commettez pas l’erreur de vous perdre dans les préparatifs du mariage, car après toute cette pression ce n’est que vous deux qu’il restera, dame “préparatifs” s’en ira, laissant place à dame “vie commune”. So, veillez, veillons!

#EMAD

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“Comment tu as su que c’était la bonne?”

(AD)Plutôt que de répondre différemment à la question à chaque personne, on s’est dit que c’était plus simple de le faire ainsi. Alors comment nous sommes nous rencontrés ?

Déjà, la photo que vous voyez est prise le lendemain de notre première rencontre physique. En tant que blogueurs tous les deux, il nous était déjà arrivé de discuter et de nous partager nos articles respectifs. En plus, nous nous étions rapprochés quelques mois plutôt pour un projet éditorial qui me tenait à coeur.

Malheureusement le projet ne s’est pas bien déployé, même si nous avons légèrement gardé le contact. Entre nous, il y avait de l’appréciation mutuelle et une passion commune pour l’écriture et l’évangile, mais rien d’autre. Lorsque nous nous rencontrons donc, je suis invité à un mariage à Yaoundé, et je vais séjourner chez un ami commun. C’est sur place que nous allons nous rencontrer et bien nous entendre, une fois de plus, sans arrière pensée. Elle fut d’une grande aide pour mon ami et moi durant notre séjour, telle Rebecca et les chameaux du serviteur d’Abraham. Cela me fit l’apprécier encore plus mais sans vraiment aller jusqu’au bout de ce qu’elle aurait pu devenir pour moi.

Ceci dit, un mois plus tard, au cours d’un autre séjour à Yaoundé, je lui écris pour qu’on se voit et reprenne notre discussion là où nous l’avions laissée. N’étant pas sur place, elle va continuer cette discussion avec moi en ligne et c’est au cours de cette conversation en ligne que j’ai découvert en profondeur son caractère, ses qualités, etc… Elle avait toujours eu une très bonne réputation auprès de nos amis communs et donc me rapprocher d’elle ainsi m’a ouvert les yeux. J’ai immédiatement décidé d’en parler à mes grands frères et mentors afin qu’ils prient pour moi et le reste appartient à l’histoire!

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"Que tu es belle, que tu es agréable, Ô mon amour, au milieu des délices!"

Cantique des cantiques 7:7, 1237 Av J.C.